Dès 1982-1983, les pionniers du custom français allaient exposer chez nos amis anglais.... Dans l'ordre, la 203 Blondel, capitonnée du marche pied, la sobre 2O1 de Thierry Lemaitre et la 2O3 "Ketchup" de Delahaye.
Étonnant le taf sur les ailes arrières de la 203. Remplacer les rondeurs de l'aile pour un plat et une extension sans volume c'est oublier les formes générales.. Comme de rajouter un marchepied tout plat. Décidément, customiser dans les années 80 c'était pas vraiment un truc avec beaucoup de réflexion sur l'esthétisme, juste du spectaculaire. Pascal
oui il me semble Paco qu'il y avait aussi du capiton dans le compartiment... Elle était sympa cette 203, et modif' précurseur pour l'époque : le pont arrière était monté en air-ride. Bon, c'était seulement des amortisseurs gonflables. Quant à la 203 Ketchup, elle est née à JANZE (35), là où j'étais au collège adolescent. Je passais le plus clair de mon temps dans le fond de la cour qui donnait sur une des rues principales du bourg, à attendre qu'elle passe. Jusqu'au jour où j'ai "osé" faire le premier pas à la rencontre de Philippe DELAHAYE, sont "constructeur" et propriétaire de l'époque. Cette voiture est aussi le premier Custom de ma vie dans lequel j'ai posé mes fesses ! Je n'avais que 16 ans et pourtant Philippe a tout de suite cru en ma passion et m'a toujours soutenu et trimballé dans les concentres, d'abord avec cette 203, et puis sa Vedette "Tranche d'Ananas", déjà présentée sur ce blog. Rien qu'à vous dire tout ça, j'en ai encore des frissons les copains... Komodor
Merci pour la confirmation : ça m'a toujours poilé ces installations de capiton et autres moumoutes jusque dans la machinerie ; fallait pas craindre une projection d'huile ou une clé qui rippe ! Emouvante ton histoire, mériterait bien une émission spéciale à la télévision Française : Jacques PRADEL, si tu nous lis ... :-) Et l'histoire du gamin qui reste posté sur le bord de la route pour voir passer des voitures un peu particulières, ça me cause ... Paco
Étonnant le taf sur les ailes arrières de la 203. Remplacer les rondeurs de l'aile pour un plat et une extension sans volume c'est oublier les formes générales.. Comme de rajouter un marchepied tout plat. Décidément, customiser dans les années 80 c'était pas vraiment un truc avec beaucoup de réflexion sur l'esthétisme, juste du spectaculaire.
RépondreSupprimerPascal
capitonné aussi le compartiment moteur ?
RépondreSupprimerPaco
oui il me semble Paco qu'il y avait aussi du capiton dans le compartiment... Elle était sympa cette 203, et modif' précurseur pour l'époque : le pont arrière était monté en air-ride. Bon, c'était seulement des amortisseurs gonflables.
RépondreSupprimerQuant à la 203 Ketchup, elle est née à JANZE (35), là où j'étais au collège adolescent. Je passais le plus clair de mon temps dans le fond de la cour qui donnait sur une des rues principales du bourg, à attendre qu'elle passe. Jusqu'au jour où j'ai "osé" faire le premier pas à la rencontre de Philippe DELAHAYE, sont "constructeur" et propriétaire de l'époque. Cette voiture est aussi le premier Custom de ma vie dans lequel j'ai posé mes fesses ! Je n'avais que 16 ans et pourtant Philippe a tout de suite cru en ma passion et m'a toujours soutenu et trimballé dans les concentres, d'abord avec cette 203, et puis sa Vedette "Tranche d'Ananas", déjà présentée sur ce blog. Rien qu'à vous dire tout ça, j'en ai encore des frissons les copains...
Komodor
Merci pour la confirmation : ça m'a toujours poilé ces installations de capiton et autres moumoutes jusque dans la machinerie ; fallait pas craindre une projection d'huile ou une clé qui rippe !
SupprimerEmouvante ton histoire, mériterait bien une émission spéciale à la télévision Française : Jacques PRADEL, si tu nous lis ... :-)
Et l'histoire du gamin qui reste posté sur le bord de la route pour voir passer des voitures un peu particulières, ça me cause ...
Paco