Avec les tripatouillages numérique sur Photoshop® ou les logiciels de 3D, notre œil s'est habitué à des montages proches de la photographie. A la sortie de la guerre, sans cet arsenal, c'était le rôle des illustrateurs de sortir un maximum d'émotions dans leurs dessins et ça primait largement sur la véracité des perspectives ou de la lumière. Toucher le cœur et l'imaginaire, c'était ça en fait le job. Petit échantillon dans le domaine qui nous intéresse...
mardi 26 février 2019
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Excellent. Les angles choisis participaient aussi à la dynamique de l'image. l'Indianapolis est super : un avant de tracteur et de gros gommards, sans doute toute fin des années 30.
RépondreSupprimerIllustration a été scannée dans un magazine de 1947 mais c'est vrai que le style de la caisse fait plus rustique.
SupprimerSorry 1946 et pub pour Firestone Tyres.
SupprimerIdem . . . j'aime bien la version Massey Harris.
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