Avant guerre, en Europe, on fonçait en racers avec la fierté de toute une nation quand on remportait la victoire sur nos voisins, tandis qu'en Amérique après le conflit, le bad boy en hot rod effrayait le bourgeois ou les jeunes filles en caisse bricolée. La maladresse des deux hot rods du bas est incontestable, mais c'est largement compensé par la dramaturgie de la mise en scène.
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Ahh. Géo Ham! je viens de découvrir qu'il était de Laval.
RépondreSupprimerPour les americains, c'est vrai qu'on croit souvent que ça va finir dans le décor.